Comme le matin, un second scramble est décidé entre Ramata/Aurélien et Jean-François/Philippe.
Vincent nous suit avec la voiturette.
Score en match-play : 8/1 pour Jean-François et Philippe.
LES LECONS DU PARCOURS:
Entre retrouvailles, swing, bonne humeur et parcours tranquille 
Après un excellent repas réparateur au club house, les esprits sont détendus et les clubs prêts à reprendre du service.
Cette fois, direction le parcours de l'Étang, avec un changement dans une équipe : Aurélien prend la relève de son père, qui a préféré les douceurs de ses dossiers bancaires à la rudesse des bunkers. Une désertion que nous qualifierons, avec humour, de "lâche mais compréhensible".
Aurélien, de retour sur les greens après treize années d'absence, fait preuve d'un joli coup de patte malgré quelques grattes inévitables. Privé de driver, la distance fait défaut à leur sexuelle équipe, mais le duo compense avec les swings précis de Ramata, toujours en pleine ascension golfique.
Face à eux, notre paire Jean-François/Philippe mène à chaque trou. Mais deux égalités seront tout de même enregistrées. Notamment grâce à une belle résistance sur les trous clés du duo « Rocky ».
Jean-François et moi n'avons qu'un seul regret : sur le green du trou n°8, où le par semblait à portée de putt
mais le destin en a décidé autrement.
Le parcours, le plus long que ses homologues du Bois d'Ô, nous occupera pendant trois bonnes heures. Un rythme tranquille, sans la pression d'autres participants derrière nous, exactement comme j'aime. C'est d'ailleurs ce calme que j'apprécie durant mes parcours en semaine, lorsque je joue avec mes fidèles compagnons retraités.
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