2023 SAISON 10
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)

2018 SAISON 9
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)

2017 SAISON 8
Fontenay-sur-Eure
Golf de Moliets - Airial
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)

2015 SAISON 7
Golf de Maintenon
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Golf de Fontenay-sur-Eure
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)

2014 SAISON 6
Golf de Clécy Cantelou
Golf d'Orange le moulin
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Fontenay-sur-Eure

2013 SAISON 5
Sargé-Lès-Mans
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (L'étang)
Golf du Perche
Golf de Rhuys Kever
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Cabourg Le Home

2012 SAISON 4
Golf du Bois d'Ô (L'étang)
Golf de Clécy Cantelou
Golf d'Orange le moulin
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Bagnoles-de-l'Orne

2011 SAISON 3
Golf de Rhuys Kever
Bellême-Saint-Martin
Golf de Clécy Cantelou
Bagnoles-de-l'Orne
Golf du Perche
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)

2010 SAISON 2
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (L'étang)
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)

2009 SAISON 1
Golf du Bois d'Ô (L'étang)
Golf de Rhuys Kever
Golf du Bois d'Ô (Les genêts)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)
Golf du Bois d'Ô (Les pommiers)


2007-2008 découverte

Le bois d'Ô (les pommiers)
Le Pavillon de Gouffern

Sur toutes les saisons
et en Stroke play:
9 fois le par.
59 fois boguey.


Août

le 06/08/2013


Golf du Perche
Slope 128

Stroke play
avec
Didier Dupuis, Joël Dhuy


110 (+38)
61

PERFORMANCES


2 Par


6 Boguey


1 Double-boguey


6 Triple-boguey


Au putting
+3


1 balle(s) perdue(s)

26°C




Match Play:
Joël : 10 (5+5)
PhA : 8 (5+3)
Didier : 8 (3+5)

Stableford:
Joël : +28
Didier : +36
PhA : +38

Putts:
Joël: -1
PhA: +3
Didier: +7



LES LECONS DU PARCOURS:

Bon début de parcours !
Le trou N°1 est conclu sur un boguey en frôlant sur trou pour le par. Pour la première fois, j'attaque le parcours de la meilleure des façons. La matinée donc sera très agréable. Lorsque la technique répond à mes attentes et que la chance m'évite les pis difficultés, tout va bien.
C’est alors qu’intervient le repas après le trou 9 qui, somme toute, fût le moins bon de la matinée car je retiens mon driver, là où Joël et Didier utilisent un bois au départ.
Mais le creux de la vague va survenir à l'issue du repas comme ce fût le cas à Cabourg en mai.
Cette fois, je ne vais pas avoir la sensation d'être lourd pour avoir trop mangé mais j'ai perdu mes sensations au putting sous l'effet de quelques verres de vin. La réussite m'ayant abandonné, je dérive mentalement. Je ne crois plus effectuer une performance de l'après-midi. Et la parenthèse va durer jusqu'au 16, où Didier va égarer une balle bien placée mais que nous n'allons finalement pas retrouver après dix bonnes minutes à ratisser la zone d'atterrissage. Cette période d'interruption du jeu va tellement m'éloigner de mon énervement intérieur que ce trou 16 va me remettre en selle pour la suite du parcours en signant le premier par de l'année (par 4), puis comme à Orange, me permettre d’obtenir sur ma lancée le par sur le trou suivant (par 3).
La leçon donc de ce parcours : ne jamais sombrer. Une mauvaise passe ne dure pas. Il ne faut pas s'affoler. Respirer à fond, chasser les mauvaises pensées. C'est plus facile à dire qu'à faire. Mais il faut se relevé ce défi, de la même façon que l’on désire réussir un par convoité.
Un parcours est un voyage dans le temps, dans l’espace et dans l’esprit. Dans le temps parce que pendant quatre à cinq heures, on se remémore un superbe drive à ce même départ ou un chip à ce bord du green, mais on lutte aussi pour ne pas voir resurgir les pensées négatives qui nous ont accompagnées lors de notre dernier parcours et qui nous a fait toucher le fond. C’est un voyage à travers des paysages superbes au milieu de la nature de trou en trou. Mais c'est aussi un voyage à travers soi, où il faut réussir à maîtriser ses peurs et ses penchants naturels afin d'atteindre la cible dans la sérénités pour conserver le plaisir du jour, le but ultime d'un bon parcours.
Accepter nos limites, nos défauts, c'est le voyage intemporel et sans frontières que l'on entreprend quand on tape sa première balle.





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