Didier gagne le Brut 116(+44)
Didier gagne le Net 83(+11)
PhA virtual Hcp: 40.5
Didier virtual Hcp: 31.7

Match play: Didier 14/4

Putting : Didier 0 à +8 pour PhA.

LES LECONS DU PARCOURS:

C'est un parcours très technique. Pour Didier comme pour moi, le fait que rien n'est plat sur le parcours nous perturbe. Par conséquent et contrairement à mes deux derniers parcours, mes balles ne se posent pas là où je l'ai décidé. Je n'ai pas su totalement maitrisé les coups en pente et je regrette de n'avoir pas relu et visionné mes notes sur ce domaine du grand jeu.
Je décide en fin de parcours, que la prochaine fois, je ne participerai qu'aux neuf premiers trous des Cabris. Les neufs derniers, les Chamois, je les consacrerai à la photographie.

D'innombrables points de vue exceptionnels sont à immortaliser. Par une belle journée ensoleillée, en après-midi, comme c'était le cas aujourd'hui, le cadre est grandiose. Nous sommes au coeur de la Suisse normande !
Au domaine des points positifs, je garde en priorité, le trou 18, la plus grosse difficulté où J’ai réédité l'exploit personnel de ne pas rater mon départ. Car la faute n’ai pas permise, sinon c’est la perte de balle et un nouveau départ en dropping zone. Ma balle se pose idéalement sur la butte opposée. Mon second coup d'hybride réussi aussi à prendre la pente opposée. Je termine sur cette satisfaction, mais l’approche et la finition sur le green gâche le score de cet ultime trou..
Aujourd’hui, mon manque de réussite perturbait mes putts et mes départs. Cette carence était fatal pour pouvoir rattraper la carte, car elle s’additionnaient aux difficultés techniques à maîtriser le grand jeu et les approches sur ces pentes normandes.

Pour Didier, son heure de gloire est au trou 17. Sur ce par 3 compliqué, au green en contre-bas, son départ au bois se plante à un mètre cinquante du drapeau sans que nous l’ayons repéré. Didier pense qu’elle s’est retrouvée dans le bunker. Il rejoue d’ailleurs une seconde balle, tellement sa confiance est faible. Mais celle-ci se perd dans les bois environnants. C’est en approchant que l’on découvre sa balle, enfoncée dans un profond pitch, les pluies de la veille ayant détrempés fortement le green.

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