LE GOLF


2012 Saison 4

 

 

 

Bois d'Ô - l'étang


23 degrés

 





 


SEPTEMBRE

le 16 septembre

LE Bois d'Ô - L'étang
Slope 119

avec Joël Dhuys, Didier et Catherine ,Dupuis.


PAR sur le par 3 du trou 4

63 (+26)
dont
1 par
3 double-bogueys

2 triple-bogueys


Stroke :
Didier +18 (55)
Joël +23 (60)
PhA +26 (63)
Catherine +48 (85)

Putt :
Joël -2 (16)
Didier 0 (18)
Pha +2 (20)
Catherine +6 (24)




En match-play :
Didier et Joël 5
Pha 1
Catherine 0



Les leçons du parcours:
"
Pour la première fois sur un parcours avec Didier et Joël, je suis le seul à effectuer le par. Mais je ne réalise, somme toute, aucun boguey. En soustrayant trois grattes sur le parcours, j'aurai terminé à la hauteur de Joël et pas très loin de Didier. Le golf est un sport où l'on progresse par paliers. Ces derniers temps, je pense avoir passé un nouveau palier grâce à l'excellent ouvrage de Vaillant "Le mental pour scorer", et les derniers cours de Bertrand Evain.

La prudence fut de mise sur le parcours. Je n'ai utilisé que le driver, le fer 7 et le pitch. À noter, deux sorties de bunker et pour la première fois l'enregistrement intégral de mes coups sur Mobitee."

une balle de perdue





 

 

 


Au final du trou 18

 

Golf de Clécy Cantelou


35 degrés

 






Le trou 18


AOUT

le 18 juillet,

LE Golf de Clécy Cantelou
Slope 125

avec Didier Dupuis.

135 (+63)
dont
1 boguey
2 double-bogueys

5 triple-bogueys


Stroke :
Didier +24 (60)
PhA +37 (73)

Didier +19 (55)
PhA +26 (62)

Putt :
Didier 0 (18)
Pha +3 (21)


Didier 0 (18)
PhA +3 (21)



En match-play : Didier 15 à 5.


Les leçons du parcours:
"
Il faudra se souvenir d'abord qu'à cette époque, je étais en conflit avec mon dos. Ce jour-là, cela allait mieux, heureusement, car les inclinaisons du parcours ne sont pas pour soulager mes lombaires.
Et pourtant, le premier départ va être le meilleur premier trou que je n'ai jamais disputé. De son côté, Didier va perdre une balle dès le premier lancer, attiré par les arbres. J’évolue alors sur la distance qui nous sépare du green dans la plus grande sérénité. Malheureusement, l'inégale lenteur des greens va abasser mes scores au putting. Ce premier trou ne fera pas exeption.
Je vais aujourd'hui dans ce compartiment de jeu, accumuler des coups en plus. Je vais terminer la journée sur +6 (+3 et +3). Et c'est bien dommage.
Le parcours est magnifique, très accidenté et donc très dur. Il est couronné par un fabuleux dix huitième trou.
Avec Didier, l'année passée nous nous étions arrêtés à neuf trous. Cette fois-ci, nous avions décidé de 9 trous le matin, resto, et 9 trous l'après-midi. Cerise sur le gâteau, nous avions en prime un second trous n°11, partucularité de l'établissement. Le total était donc de 19 trous à effectuer par une journée caniculaire. Catherine et Papy nous accompagnaient en voiturette sur laquelle nous avons disposé nos sacs. Nous n'avons pas été bousculé par d'autres groupes. La canicule en week-end du 15 août avait plutôt attiré les parisien vers la plage. Nous n’avons croisé personne. Les rares autres joueurs apparaissaient loin à l'horizon du fabuleux décor.
Le plaisir de vivre l'instant présent et la stratégie de la cible comme objectif, ont confirmé ma bonne impression d'avoir passé un palier sur un parcours. Pas d'énervement, seulement un mécontentement sur le trou 17, où deux fois de suite, la balle va rebondir sur un chemin pour s'engouffrer dans les taillis.
Les frappes en pente sont les principales difficultés à résoudre sur ce parcours. À l'issue des trous 2 et 3 négociés en 9 et 12 coups, je décide d'abandonner provisoirement l'hybride que je ne sens pas aujourd'hui. J’adopte alors le fer 7 pour le reste de la journée. Au final, mes choix de clubs seront : driver, fer 7, pitch et putter. De plus, je suis super satisfait de mon unique  sortie de bunker sur le très compliqué 18. En déséquilibre, l'exécution se concluera par un dépôt de la balle sur le green. Mais, malheureusement, je vais perdre un coup au putt, comme symbole de mon point faible de la journée.
"

Pas mal de balles de perdues




 

 

 

 


Trou N°9 et 18

 

Golf d'Orange, le moulin

 






JUILLET

le 28 juillet,

LE Golf d'Orange (9 trous effectués deux fois).

Slope NC


avec Janine et Jean-Pierre de Pont-St-Esprist.

52 (+18)
dont
3 bogueys
3 double-bogueys

3 triple-bogueys


PREMIER PAR SUR UN PARCOURS !
sur le par 4 du trou 16 (7).
le second par sur le trou 17 (8)

56
(+22)
dont
2 pars
1 boguey
4 triple-bogueys






Les leçons du parcours:
"
Pour la première fois, j'effectue un parcours seul. Au lieu des neuf trous prévus et afin de bénéficier du Golfmax à 50% de réduction, c'est sur dix-huit trous que je vais passer ma matinée. Après un premier et second trou pas du tout en confiance car je démarre sans passer par le practice, le bénéfice du "Mental pour scorer" porte ses fruits.
Les fairways étroits m'engagent à jouer la sécurité en usant de la confiance que j'ai dans le fer 7. Petit à petit, en concentrant mon attention sur la cible, l'endroit où je veux voir ma balle atterrir, je découvre le nouveau plaisir d'effectuer un parcours.
Le passage obligé au dessus d'un obstacle d'eau au trou 6 est réussi.
La satisfaction m'envahit bien que mon premier par aurait pu s'effectuer sur le par 3 du trou 8. Une virgule m'interdit cette joie.
Comme le trou 3, le 9 est dessiné à angle droit.
Au départ du 10, un couple de retraités m'invite à se joindre à eux.
Janine et Jean-Pierre de Pont-Saint-Esprit sont sympathiques et d'un bon niveau. Avec eux, je n'améliore pas mes scores du premier tour, sauf au trou 16 (7) où après avoir usé de mon Muligan sur mon premier départ au Diver, je réussi un bon drive sur ce par 4 et je réalise enfin le premier par de ma vie sur un parcours, exploit que je recommence au trou suivant sur le par 3 où j'avais tout à l'heure effectué une virgule. Le trou 9 n'est pas amélioré pour autant. Je retombe une seconde fois dans le bunker.

Alors qu'au trou 15 (6), ma balle est perdue dans l'obstacle d'eau par un coup raté, ma seconde balle atterrit près du Green auprès d'un serpent.
Au dernier trou, une cigale se noie dans le trou. Jean-Pierre la sauve avant que je n'ai eu le temps de prendre la photo. 

Nous nous quittons dans des poignées de mains chaleureuses et sympathiques. Le temps de température modérée est idéale pour jouer au golf dans la région. Je sors emballé de mon expérience solitaire. Ce golf semble plus familial que certains golfs proute-proute-ma-chère.

Premier par sur un par 4

Second par sur un par 3

"

Trois balles de perdues


Premier tour (Aller)


Second tour (retour)


 

 

 

 

 

Au Bois d'Ô, Les genêts






JUIN

le 7 avril,

LE Bois d'Ô (9 trous les genêts).

Slope 119


avec Christophe, Philippe.

Scramble
ScramP2C

48
dont
1 par
4 bogueys
4 double-bogueys






Les leçons du parcours:
"
Comme l'année dernière, pour Christophe et Philippe, à partir du huitième trou, c'est terminé. Physiquement, il n'y a plus personne. Au départ du 8 d'ailleurs, tout le monde engage sont Muligan.
Pour ma part, depuis le départ, j'ai essayé de mettre en pratique ma lecture du moment, l'excellent livre de Jean-Philippe Vaillant : "Le mental pour scorer". Le résultat est prometteur. Je réussis à placer mes balles dans le périmètre que j'avais décidé, en appliquant le concept de cible et non de balle-cible. Sur un long put du trou numéro , c'est à la lettre que je l'applique. Résultat: après avoir lu les recommandations de lecture du green et alors que ma cible n'était pas le trou mais un point plus à gauche, la balle suit la trajectoire prévue pour disparaître dans le trou : satisfaction.
Au trou 8, au départ, l'envol de la balle est bien droite pour passer l'habituel butte. Même chose au neuf. Je préviens tout le monde : " Regardez ma balle va se poser sur le Green." Philippe pousse un cri d'admiration bien que la balle glisse entre ce Green et le bunker à gauche. S'ensuivra une approche facile et c'est Philippe qui n'aura plus qu'à déposer la balle dans le trou.

Au bilan, un par réussi sur le 8 grâce au put en un de Christophe et de quatre bogueys. Les autres trous ne dépassent le double boguey.
Ce jour là, après un repas au restaurant du Bois d'Ô avec les familles Bernier et Seach, Catherine et Didier nous rejoingnent. Deux groupes sont obligés de se former. L'équipe des ScramP2C et celle des filles emmené par Didier.
Coco à partir du trou 5 restera en notre compagnie.
Malgré les vertus du livre de Vaillant, la rage me monte après que deux balles atterrissent à des endroits sans difficulté sur le parcours et qu'arrivé sur place, nous n'arrivons pas à les retrouver. La troisième fois, je ne tente même de la chercher. Il ne sert à rien de pousser une colère à propos d'un fait que je considère extérieur au jeu.
Quelques gouttes de pluie au départ mais pas d'eau non plus dans mon sac. La bouteille de la dernière fois était vide. J'ai oublié de penser au ravitaillement. La traditionnelle gorgée de bière au club-house s'en trouve un peu plus bienfaitrice.

Pour la première fois, me viens l'idée suivante : pourquoi ne pas effectuer un jour un parcour seul ? Pour la première fois, j'envisage cette éventualité pour travailler ma concentration au calme."

Trois balles de perdues


 

 

 

 

 

Bagoles-de-l'Orne

 






AVRIL

le 7 avril,

LE Golf de Bagnoles-de-l'Orne

Slope 117


avec Didier.

GREENS D'HIVER

On effectue les 9 trous en notant les scores, neuf autres trous librement.

51
dont
3 pars
3 double-bogueys

Matchs Play
Didier 7
PhA 3


Stroke :
Didier Dupuis +10 (43)
PhA +18 (51)

Putt :
Didier & PhA 0 (18)
pas de green



Les leçons du parcours:
"
Pas de green.
Nous avons donc le parcours à notre disposition pour le reste de la journée et pour le même prix. La pluie sera de la partie."

Quatre balles de perdues


 

Golf: Randonnée de huit kilomètres balisée de déceptions.


(c)PhA 2012